(Québec) Incapables d’obtenir des blocs d’énergie pour électrifier leurs usines, de grandes entreprises québécoises ont plutôt choisi d’investir aux États-Unis. L’organisation qui les représente demande à Québec de privilégier, à l’avenir, les sociétés d’ici.
Il est possible de protéger l’environnement sans pénaliser l’économie, mais pas sans changements dans les politiques et les investissements, selon un rapport publié en juin par la Banque mondiale en collaboration avec Natural Capital Project, un regroupement de plusieurs organisations, dont l’Université de Stanford et l’Université du Minnesota, aux États-Unis.
Le Plan pour une économie verte 2030 guide l’action du gouvernement pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et s'adapter aux changements climatiques au cours de la présente décennie.
Frédéric Laurin, Ph.D. en économie, spécialisé en développement régional Professeur en économie, École de gestion, Université du Québec à Trois-Rivières Chercheur à l’Institut de recherche sur les PME (INRPME) Frederic.Laurin@uqtr.ca fredericlaurin.com
Dirigée par le professeur Jérôme Dupras, la Chaire de recherche du Canada en économie écologique est rattachée au Laboratoire d’économie écologique, situé à l’Institut des Sciences de la Forêt tempérée, de l’Université du Québec en Outaouais. Elle est constituée d’une vaste équipe de chercheurs et d’étudiants gradués, qui a pour objectif de mieux comprendre et de mesurer la contribution de la biodiversité et des écosystèmes au bien-être humain.