Au Québec, Rio Tinto projette l’image d’un aluminium propre et responsable. Mais ses prétentions vertes sont loin de refléter la réalité, malgré les millions de dollars de fonds publics investis. Enquête a remonté toute sa chaîne de production, de l’extraction de la bauxite en Amazonie jusqu’aux dépotoirs de déchets miniers à Saguenay, et a découvert qu’il s’agit d’une forme d’écoblanchiment.