L’enjeu, pour le Port de Montréal, consiste à obtenir un permis de Pêches et Océans Canada en vertu de la Loi sur les espèces en péril. Celle-ci ne prévoit que trois exceptions pour intervenir dans un habitat essentiel désigné officiellement. Interrogé, le président de l’Administration a réitéré sa confiance à l’endroit des « mesures de compensation » élaborées. Il s’attend à obtenir les autorisations nécessaires « quelque part dans l’année ».