S’il veut espérer être en mesure de s’attaquer au « chantier national » que représente l’adaptation aux effets inévitables de la crise climatique, le Québec doit non seulement revoir la manière dont il conçoit les infrastructures et tenir compte du réchauffement à venir dans l’ensemble de ses décisions, mais il doit aussi stopper la destruction des milieux naturels et travailler à restaurer ceux qui ont été dégradés par l’activité humaine, y compris les forêts.